Beecome et la sécurité

Une des difficultés des outils collaboratifs est la grande diversité des modules et leur absence d’uniformité. 

Cette situation provoque par effet de conséquence des failles de sécurité mais aussi une incohérence quant à l’infrastructure et à l’interface utilisateur. 

 

Structure

Avec Beecome, la structure et prévalante, elle est issue d’un modèle hiérarchique institutionnel. Il peut s’agir d’une école, d’une université, mais aussi d’un groupe de travail informel comme d’un palais de justice. 

 

Contrairement à la plupart des outils commerciaux, Beecome bénéficie d’une organisation cohérente unifiée sous forme de modules. La mise en partage de documents sécurisés comme la visioconférence ont été  pensés dès la conception du produit. La notion de sécurité est à l’origine même de l’outil qui se conçoit comme une plateforme à la fois collaborative encadrante. 

 

D’autre part, Beecome n’intègre les réseaux dit “sociaux” que dans des cas extrêmement contrôlés et filtrés, ce qui permet de séparer l’outil de toute exploitation commerciale des échanges. 

 

Sécurité et localisation des données

On peut ajouter à cela que le produit Beecome est construit autour de serveurs français, de programmeurs français et d’entreprises françaises. La volonté du dirigeant de Beecome est à la fois de sécuriser son outil et de le rendre extrêmement performant en terme de relation dans le réseau.

 

L’équation entre liberté et sécurité est souvent une problématique difficile à résoudre. on choisit un outil pour sa sécurité mais l’utilisateur est bridé dans sa capacité à customiser l’outil, ou on a à faire un outil très ouvert mais dans ce cas les failles de sécurité apparaissent rapidement et chaque utilisateur et susceptible d’influer sur la structure logicielle. 

 

Beecome aura établi un juste équilibre en analysant la dimension comportementale des utilisateurs et aura privilégié la structure à la fois modulaire et sécuritaire de l’outil.